Scandale du Luxe Made in China : Mon Expérience et Analyse

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C'est en train de faire le buzz depuis quelques jours.
Les industriels chinois ont décidé de révéler massivement qu'ils étaient à l'origine de la fabrication de la majorité des articles vendus par les marques de luxe type Gucci, Louis Vuitton, Prada etc. parfois même jusqu'à 80% des stocks de la marque.

Cette information a choqué les internautes, mais pas selon moi pour les bonnes raisons.
J'ai donc voulu écrire cet article vous raconter mon expérience des marques de luxe, décrire les différents types d'acheteur de ces marques, et vous partager mon opinion concernant ce nouveau "scandale".
Mon expérience du luxe
Je n'ai jamais été particulièrement sensible aux marques de luxe.
Avant, surtout parce que je n'en avais pas les moyens et que de ce fait mon cerveau n'envisageait pas une seule seconde le choix entre Kiabi, Celio et Prada. Je n'avais même pas d'opinion sur le sujet, c'était un autre monde qui ne m'intéressait même pas. Tout ce qui m'importait, c'était de progresser personnellement et de m'accomplir en tant qu'homme.
Et aujourd'hui, les marques de luxe ne m'attirent plus du tout pour tout un tas de raisons que je développerai dans la suite de cet article.
Mais j'ai eu une période "luxe". Cette période a démarré au moment où j'ai commencé à finalement faire un peu plus d'argent.


Étant plus proche de la fourmi que de la cigale, j'ai bien sûr attendu d'avoir beaucoup plus d'argent de côté en proportion avant d'en dépenser.
Tout a commencé le jour où ma femme Betty Autier (oui, celle du fameux blogdebetty) m'a offert pour mon 25ème anniversaire un peignoir Versace.

C'était ma première introduction aux marques dites de luxe. Je n'en revenais pas, dans ma tête, elle avait fait une folie et j'étais incroyablement reconnaissant de ce geste qui m'avait vraiment touché.
Ce cadeau a eu plusieurs effets très positifs sur mon cerveau clochardisé par une mentalité très dure envers moi-même (que j'ai toujours, et qui est essentielle) couplé à l'ambiance ultracommuniste française de valorisation de la pauvreté que j'ai commencé à exploser dans un précédent article.

Mais ce cadeau est intervenu au tout début de ma volonté de mieux m'habiller et d'arrêter d'être un singe.
Le problème, c'est que lorsque vous commencez à faire un peu d'argent et que vous commencez à vouloir mieux vous habiller, vous pensez bien faire en prenant le raccourci ultime : "je vais acheter du luxe, comme ça certes c'est cher mais au moins ça sera de qualité et à la mode".


Heureusement, étant sain d'esprit, rationnel et très anxieux vis-à-vis de l'avenir, mon cerveau est programmé pour ne pas frimer bêtement et tout flamber dans des conneries.
Je n'ai donc pas fait énormément d'achats de luxe, mais suffisamment pour comprendre les raisons qui me poussent à en apprécier la plupart ou à en regretter quelques-uns aujourd'hui.
En bref :
- j'apprécie énormément les quelques pièces de grande qualité, fabriquées en France ou en Italie, très souvent en cuir robuste et aux finitions soignées, et qui ont participé positivement à ma stratégie d'image de marque sur les réseaux sociaux, quand certains ne sont pas devenus carrément mes "marques de fabrique" à l'instar de mon débardeur iconique et qui suscite la jalousie, une pièce collector de la collaboration Fendi X Versace, et qui complimente à merveille mon physique à 7% de bodyfat + rapport épaules/taille de 1,6
- je "regrette" une seule pièce qui était une veste réversible également de la collection Fendi X Versace et que j'avais achetée pour Betty, trouvant la pièce très originale et très rose (elle adore le rose). Je ne la regrette que parce qu'elle n'est pas faite dans un beau matériau, forcément puisqu'elle est réversible et "mode", et parce qu'elle est un peu trop courte pour Betty.


Ma conclusion sur l'expérience du luxe est donc qu'en achetant des pièces iconiques, belles et fabriquées en France/Italie, on ne regrette pas l'expérience du luxe.
On associe son image de marque et sa valeur à ces beaux objets, et les posséder nous rappelle tous les jours pourquoi on travaille et pourquoi il faut continuer encore et encore, toujours avec plus d'acharnement.
Cela a eu également un intérêt pour la construction de mon image de marque, montrant au monde que je n'étais plus un sdf sans moyen qui mettait des Puma Zeta trouées et que mes entreprises marchaient bien et me permettait d'en vivre, symbole de leur qualité à elles aussi.
Avec ces quelques achats de luxe, j'ai pu profiter de cette image pour élever la mienne.


Mais aujourd'hui, je me dirige vers l'élégance et le style classique de L'Art Sartorial qui est un univers qui privilégie la qualité des belles matières et de l'artisanat de savoir-faire sans être ostentatoire et sujet à la mode.
Et surtout : je n'aime plus l'image de marque que renvoie les marques de luxe et je vais vous expliquer mon sentiment.
Revenons sur notre scandale du luxe made in China aux marges délirantes
Pour une raison qui m'est inconnue, probablement depuis le début des hostilités économiques frontales entre les États-Unis de Trump et la Chine, l'usine de communication chinoise s'est mise à bombarder du contenu vidéo, via TikTok et relayé sur tous les réseaux sociaux, démontrant preuve à l'appui qu'ils étaient à l'origine de la fabrication de la plupart des produits commercialisés par les marques de luxe occidentales.

Certains sont allés jusqu'à détailler les procédés de fabrication, les matières premières utilisées et leurs coûts réels, le coût de la main-d'œuvre et le coût total du produit fini qu'ils ont comparé au prix de vente des enseignes de luxe.
Les plus naïfs ont donc appris à ce moment-là que l'industrie du luxe faisait des marges indécentes, entre x10 et x30, remettant d'ailleurs en question le concept et le sens du mot "marge" qui ne semble plus du tout adapté tant l'écart entre le prix de fabrication et le prix de vente est abyssal.
Cela a bien sûr scandalisé tout internet.
Mais selon moi pour les mauvaises raisons.
Pourquoi les marques de luxe coûtent-elles si cher ?
Ce qui me scandalise personnellement, ce ne sont pas les "marges" monumentales que font les marques de luxe sur les produits qu'elles vendent.
Je considère que le prix de vente est fixé de manière stratégique par la marque pour se positionner sur le marché et créer son image de marque.
Bien sûr, ce tarif DOIT correspondre à la qualité des matériaux utilisés, à la qualité des coutures et de l'artisanat dans son ensemble et au design iconique.
Mais pour le reste, il appartient selon moi à la marque de fixer ses tarifs et aux clients de les trouver cohérents ou non.

Le positionnement d'une marque de luxe amène intrinsèquement des prix très élevés, presque dissuasifs pour être hors de portée de l'individu lambda.
Ces prix sont fixés pour créer une forme d'exclusivité pour satisfaire les rares personnes qui auront les moyens et donc le prestige de se les offrir.
Voyez-vous, lorsque vous êtes riches, vous tenez à le montrer, et c'est là que l'industrie du luxe capitalise sur le besoin humain de démontrer son statut pour les hommes et sa valeur pour les femmes (les sacs Chanel des femmes ont été achetés par des hommes dans 99% des cas, statistique que je viens de créer).

Mais lorsque vous êtes riches, vous tenez surtout à avoir des choses que les autres n'ont ou n'auront pas : pièces de collection, éditions collectors uniques, montre avec un peu plus de diamants etc.
C'est la raison pour laquelle le sac Birkin est si iconique : comme tout véritable objet de luxe, son prix n'est même pas affiché, et même si vous avez les moyens de vous l'offrir, il faudra cinq années de file d'attente pour espérer l'obtenir. Car lorsqu'on casque 35 000€ pour que sa femme puisse se sentir unique et supérieure aux yeux de toutes les autres, on tient à ce que la prochaine doive :
- attendre cinq ans minimum
- tenir cinq ans de plus avec son mari qu'elle n'aime pas tellement mais qui est très riche

Enfin, une autre raison des prix ultra-élevés des marques de luxe est l'image de marque qu'elles ont réussi à créer.
Porter une marque, c'est porter l'imaginaire qu'elle représente : le caractère inaccessible, prestigieux, luxueux, de qualité supérieure, noble dans la coupe, les matériaux et la fabrication. En tout cas en théorie.
C'est ce qu'on appelle l'association : ce que vous consommez vous définit à première vue. Si vous mangez un tacos sauce fromagère à emporter vêtu d'un jogging Artengo, vous ne renverrez pas la même image que si vous sirotez un matcha avec votre keepall Louis Vuitton.
Et certaines marques de luxe sont même allées jusqu'au bout du concept, en élevant sans raison particulière scandaleusement leurs tarifs et en devenant ultraluxe, notamment Chanel et Hermès. L'objectif ? Devenir encore plus inaccessibles et filtrer leur clientèle, donnant le sentiment (réel) à leurs clients qu'ils sont mieux que riches : ils sont les plus riches.
Comment les marques de luxe ont trahi leur image de marque
1. En revendiquant la "culture street"
Au-delà de tout ce que nous venons de dire, la véritable image de marque de luxe de ces marques résidait en grande partie dans leur recours à un artisanat, la fine fleur de ce qu'a su construire l'Occident, pour son savoir-faire, réputé mondialement pour sa qualité et ses standards de finition extrêmement hauts.

Louis Vuitton, Chanel, Yves Saint-Laurent et Hermès, pour ne citer qu'eux, devaient représenter l'éternel chic et raffinement du luxe français, de ses artisans et de ses ateliers mignons et dévoués jusque dans les moindres détails.
Gucci, Prada, Bottega Veneta, Fendi ou même Versace représentaient eux le savoir-faire et l'art italien, dans ce qu'il propose de plus noble, de plus élégant et de plus stylé.
Puis sont venues les premières trahisons qui ont selon moi modifié de manière indélébile l'image de marque de ces marques.
D'abord, et ils ne l'ont pas choisi dans un premier temps, la culture racaillesque reposant sur l'argent de la drogue a mis la main sur le luxe pour réclamer un statut et affirmer par là encore plus d'une "masculinité" surcaricaturée dans son expression musicale (le rap, souvent de merde).

Pire encore, ceux qui n'avaient pas les moyens de s'acheter du luxe se sont tout simplement mis, et sans aucune forme de honte ni de pitié, à porter du faux.
Ainsi sont arrivées les premières casquettes (merdiques) Gucci, les accessoires (dégueulasses) ostentatoires Louis Vuitton, et les sacoches (laides pour la plupart) Prada.

Les marques qui ont subi cette "appropriation culturelle" avant l'heure ont réellement subi un downgrade de bâtard sur leur image de marque de luxe.
La casquette Gucci, vous l'avez en tête rien que de la citer, et vous ne voudrez jamais avoir le moindre habit portant ce motif rendu immonde par ceux qui l'ont désacralisé à outrance.
Puis, depuis quelques années, la culture "street" a gagné du terrain.
Le "wokisme", c'est-à-dire la mise en avant des trucs qu'on ne veut pas voir, a envahi les cerveaux des femmes et des homosexuels des agences publicitaires et des conseillers image de l'industrie de la mode de luxe.
Louboutin qui s'affiche avec Assa Traoré, Valentino avec Rokhaya Diallo, Asap Rocky qui devient égérie Dior, PNL invités au prestigieux défilé Chanel...


À ce moment-là, les marques de luxe se sont compromises pour l'éternité : elles se sont mises à associer leur image de marque à la culture "street" et "woke" de merde, à créer des collections laides en rapport avec l'attirail dégueulasse porté dans les quartiers défavorisés (ils touchent beaucoup d'argent public rassurez-vous, c'est juste une expression) c'est-à-dire le jogging slim en polyester de fils de pute, le t-shirt basique mais avec le gros logo dessus (on pense à l'immonde branding de Balenciaga), et bien sûr toutes sortes de casquettes et de sacoches là-encore ostentatoires.
2. En se mettant à vendre de la merde
Les marques de luxe incarnaient normalement les matériaux de luxe.
Mais l'appât du gain, couplé à leur nouveau public de mongoliens ET de nouveaux riches sans goût (connards de télé-réalité, streamers américains pour ados attardés, habitants de Dubaï qui n'ont aucune idée de ce que le mot "élégance" signifie), leur a vite fait réaliser que la nouvelle clientèle n'achetait plus du tout pour la qualité du produit, mais presque exclusivement pour le logo et l'image de marque renvoyée.
Les marques de luxe se sont donc mises à vendre des produits basiques et pas du tout luxe comme des t-shirts à énorme logo, des baskets/sneakers/converses à énormes logo ou motif (je pense surtout aux converses Dior qui me donnent envie de transférer leurs porteurs dans le fameux bagne au Bangladesh), et tout un tas d'accessoires de fils de pute qui veut montrer à tout le monde qu'il avait 2500€ en trop sur son compte à un moment donné de sa vie.


Je pense que le summum du mauvais goût réside dans les montres de ces enseignes dont ce n'est et n'a jamais été la spécialité, mais bon il fallait bien une MONTRE GUCCI pour ceux qui ne pourraient pas reconnaître votre statut si vous portez une "simple" Patek Philippe (elle coûte 150 000€ mais le gogol moyen à impressionner ne connaissait pas).

Et là où ça devient impardonnable, c'est lorsque les marques de luxe se sont mises à vendre des habits certes moches et ostensibles mais surtout en polyester.
Nous sommes donc passés de prix indécents certes, mais justifiés partiellement par la qualité premium des matières premières, à des prix toujours indécents proposés sur des objets en plastique avec un énorme logo laid dessus.
En somme, de la merde.
3. En trahissant leurs pays d'origine
Nous arrivons là selon moi au plus grave et au plus important : la délocalisation de l'industrie.
Si toutes les marques de luxe ne s'en sont pas rendues coupables (Hermès et Chanel pour ne citer qu'eux produisent encore en France il me semble), la quasi-totalité d'entre elles s'est mise à délocaliser son industrie et son savoir-faire.
Pourquoi ? Parce que leurs marges indécentes n'étaient visiblement pas suffisantes.
Pourquoi s'emmerder à faire travailler des Français ou des Italiens chiants qui posent des semaines de congés, font des ponts comme des bâtards, réclament un salaire toujours plus élevé avec un SMIC pour couronner le tout, peuvent stopper la production du jour au lendemain si d'un coup de tête ils commenceraient à se syndiquer pour se plaindre des conditions de travail, et tout ça pour se taper je ne sais combien d'impôts de merde en tiroir dès qu'on fait la moindre transaction ?

Alors que de l'autre côté, on peut investir durablement dans des usines en Chine, des ateliers en Chine qui ne coûteront qu'une fraction du prix d'un travailleur français, qui ne feront jamais chier à se plaindre sous prétexte que "odeurs toxiques, difficile de concentrer" (à lire avec l'accent chinois) et qui bosseront du matin au soir sans se plaindre qu'ils n'ont pas eu le temps de manger aujourd'hui et qu'ils sont fatigués.
Je cite la Chine, mais je connais des marques de "semi-luxe" qui produisent carrément au Bangladesh (Ralph Lauren) ce qui facilitera leur mise au fameux bagne ceci dit.

Ces marques-là ont donc fait le choix en toute connaissance de cause :
- de trahir leur image de marque du Made in France/Italy, trompant de ce fait le consommateur pour qui l'image de marque représentait à la base l'excellence française/italienne
- de se mettre à vendre de la merde en polyester sur des produits basiques pour plaire aux gogols mentaux qui veulent montrer qu'ils ont un peu d'argent
- d'associer leur image de marque à une culture merdique pour être à la mode comme des fils de pute de la mode qu'ils sont parce que des équipes de com' ultragay leur ont dit que c'était "trop cool" d'être un clochard de banlieue
Pour ces trois raisons, l'industrie du luxe s'est compromise et ne renvoie en réalité aujourd'hui que l'image de marque du mauvais goût et de "l'achat statutaire", sauf pour quelques pièces encore bien conçues et de grande qualité.
Conclusion
Tout n'est pas à jeter dans l'industrie du luxe et il existe encore des pièces iconiques et de qualité. Leurs prix restent cependant trop élevés compte tenu de ce qu'est devenu l'image de marque des marques de luxe à l'heure actuelle.
Ne commettez plus l'erreur de penser que "c'est luxe donc au moins c'est safe" que ce soit pour un cadeau de valeur ou pour vous-même.
Plus rien n'est certain et vous pourriez avoir une mauvaise surprise, que ce soit sur la qualité du produit ou l'origine décevante de sa fabrication.

Il convient aujourd'hui de se renseigner sur ces marques de grande qualité, souvent moins connues mais non moins réputées chez les connaisseurs, et j'essaierai de vous y aider à travers ce blog en partageant mes expériences de vie.
Renseignez-vous toujours sur le matériau utilisé, le lieu et les modes de fabrication de vos objets de valeur.
Et n'oubliez pas qu'un achat ou un cadeau prend beaucoup plus de valeur lorsqu'il montre que vous avez bien réfléchi aux envies et aux besoins de celui à qui vous l'offrez, et que vous êtes capables de le valoriser en racontant son histoire, sa fabrication et ce qui fait de lui un objet si unique.
Merci pour votre temps.
C'était le Raptor.
Ciao.
J’ai récemment fait l’expérience de tout ça via l’achat de stylos plume, dont le confort d’écriture est incomparable pour moi. Et pour mon anniversaire de dizaine, je voulais un truc bien. Donc je n’ai laissé à personne d’autre que moi choisir le stylo plume.
Je cherchais du fabriqué en France. J’avais déjà un waterman, une valeur sûre. Alors j’ai cherché autre chose. En me dirigeant sur les Dupont, je me suis rendu compte au dernier moment que certains de leurs stylos étaient fabriqués en …. Chine !!! C’est gravé en tout tout tout petit sur le capuchon. Résultat j’ai pris un Caran d’Ache au même prix que le Dupont chinois. En revanche, lui a été fabriqué en Suisse, pays d’origine de la marque. Confort d’écriture excellent, finition du stylo au top. On me dira que Dupont, c’est les stylos, mais la marque joue sur l’ambiguité tellement le “made in china” décisif est gravé petit. Vraiment petit comparé au “swiss made” gravé à l’intérieur du Caran d’Ache.
Attention donc à ces marques qui abusent effectivement.
Que dire… La chute des standards est absolument partout. Le standard vestimentaire n’y échappe pas…
Très bon, très bon ( à lire avec l’accent chinois ).
Mention spéciale sur les réseaux (au hasard: X/Twitter) pour les pp foot et drapeaux en tout genre/tout pays dans le tag, qui crachent ouvertement sur l’industrie et se moque en disant “ahah enfin exposé au grand jour”, alors que le luxe visé par ces révélations est celui que tu décris si bien, porté et acheté par leur propre entourage, pourtant pensé par les “équipe de com ultragay”.
Merci pour cette éclairage et ce nouvel angle sur des sujets précis mais tellement révélateur du scam général