Lisbonne : La ville anti-gros qui régale les Chads

Sommaire
VOYAGE À LISBONNE
Je profite du vol retour Lisbonne-Paris (CDG, pas Orly de clochard qui recense 100% des destinations les plus catastrophiques possibles pour aller s’embrouiller avec des arabes ou des gitans et faire la queue entouré de badauds malpolis au lieu de profiter de son été) pour vous écrire cet article et vous parler de mon séjour à Lisbonne.
Lecture à l'aller, écriture au retour.
Nous sommes partis samedi midi et rentrés mercredi midi, ce qui nous a laissé trois jours pleins pour profiter de la ville.
Si vous souhaitez un résumé en quelques mots : nous avons beaucoup aimé Lisbonne, c’est une capitale européenne unique dans son style, la nourriture y est très bonne tout comme l’ambiance visuelle et globale.
Attention : 99% de la ville est en pente sur des pavés qui peuvent être glissants donc prévoir de 1 : ne pas être une salope et 2 : avoir des patins à ses semelles en cuir (ou des baskets new balance de pd).
Exemple typique d'une rue à Lisbonne : dénivelé et petits pavés.
POURQUOI CE VOYAGE
Soyons honnêtes, à moins d’être portugais (c’est à dire d’être un demi-arabe donc d’avoir une fierté nationale ultra exacerbée de mongolien) ou pauvre, Lisbonne n’est jamais LA première destination à laquelle on pense lorsqu’on souhaite visiter une belle ville d’Europe.
Dans l’ordre viennent d’abord : aucune grande ville française à part Paris puisqu’elles sont toutes remplies de shiteux de merde supplément tacos-caprisun-jambon de dinde homo aux nitrites, Rome, Venise, Florence, Londres si on est prêt à payer cher pour manger de la merde ou à se taper des restos indiens pour survivre c’est à dire valider directement et sans concession le grand remplacement et le très grand risque d’intoxication alimentaire qui va avec, surtout pas l’Espagne qui a l’air beaucoup trop chaude, sèche et remplie de pauvres, Athènes si on est amoureux de la civilisation et qu’on a fini AC Odyssey à 100% DLC compris, puis l’Europe de l’Est quand on est racialiste et qu’on déteste les noirs mais que la Russie était un budget trop important (on reste un clochard).
Lisbonne n’est évoquée que par élimination après avoir déjà visité un peu de tout ça.
Quand tu examines toutes les options de voyage et que Lisbonne n'y figure pas.
Et pourtant, c’est une superbe ville qui vaut le détour. Je ne la mettrai pas au même tiers-S que Rome et Paris, mais facilement au tiers A.
Nous avions déjà visité Venise, Florence et Londres deux fois, Rome, Vienne, Berlin, et surtout pas Madrid ni Barcelone, il était donc l’heure pour nous de découvrir Lisbonne et d’accepter que des badauds à coussin de tête partagent notre avion.
Il y a beaucoup de choses à visiter aux alentours de Lisbonne, mais pour ce premier voyage nous avons décidé de rester dans la ville avec une seule sortie en dehors à Belém.
La place du commerce, face au Tage. Des mecs louches vendent des lunettes de soleil merdiques en face.
LISBONNE DÉTESTE LES GROS ET LES CUCKS
Premier point positif à Lisbonne : les dénivelés de batard.
Toutes les rues sont en pente et c’est appréciable pour plusieurs raisons.
Premièrement parce que les gros sont doublement punis, c’est-à-dire qu’ils doivent non seulement porter leur gros poids dans les montées et enculer leurs genoux déjà amochés par le surpoids pour freiner dans les descentes, mais en plus le sol est glissant, leur assurant une chute dévastatrice si ce n’est fatale définie par la loi de la chute libre inventée par le grossophobe Newton : leur (grosse) masse x accélération = leur gros poids x le sinus de l’angle de dénivelé. Autrement dit, bouboule produit des pics de cortisol permnanent à la manière d’un mexicain qui est en manque de Pepsi Max (pas le sans sucre, juste la version XXL) alors qu’il pèse 185kgs pour 1m62 et que son menu de sale gros gitan d’Amérique latine en comporte 15L minimum par jour pour hydrater sa graisse abondante assoiffée de sucre.
Il construit une ville full dénivelé, les gros le détestent.
Le problème des gros étant que plus ils marchent, plus ils ont faim et un gros qui a faim peut consommer jusqu’à 25x le PIB du Sénégal dans un seul sandwich énorme qu’il va dévorer en déformant son visage pour que tout entre dans sa bouche le plus vite possible car il a très faim (il a déjà mangé il y a 40 minutes et a aussi grignoté entre temps).
Résultat : plutôt que de perdre du poids en marchant, il va juste gagner des mollets.
Le gros ne brûle pas de calories, il prend des mollets.
Deuxièmement, parce que les cucks sans cardio vont être vite essoufflés et vont vite aller se boire un café de merde dans un bar à touriste laid pour « décompresser » et avoir l’impression qu’ils vivent la vida loca (ils sont à -22,54€ sur leur compte boursorama qui leur envoie des mails de rappel qu’ils sont en négatif depuis 2 semaines sans réaction de leur part) alors que ce sont simplement des vieux fils de pute sans âme et qui ne font pas de sport à part du paddle d’homosexuel et du « futsal » de banlieusard.
"Votre solde est débiteur".
Ce qui nous amène à la troisième et ultime raison qui en découle logiquement : Lisbonne est une ville de Chad qui impose d’entrée de jeu son style et te fait comprendre que son train de vie qui borde l’Europe de l’Ouest et qui a vu parader les plus grands navigateurs de notre ère à l’assaut du monde se mérite et demandera une certaine condition physique pour l’apprécier.
15 minutes à Lisbonne suffisent à faire comprendre aux gros et aux mecs aux physiques de traître que la discrimination est un pré-requis presque divin pour pouvoir apprécier les plus belles choses de la vie. La seule tolérance qu’a cette ville vis-à-vis des animaux gras et des mollusques c’est quand ils finissent dans une paella, et vu qu’ils ne sont pas cannibales (même s’il y a des capverdiens) ils en sont venus comme tous les autres à la conclusion rationnelle et élémentaire que les gros et les faibles étaient détestables dans l’absolu.
Le cristo redentor de Lisbonne veille à ce que les gros passent un mauvais séjour.
LISBONNE HÉBERGE DES SALES GAUCHISTES
Mépriser les gros et les cucks aurait pu être une condition suffisante pour que je vous recommande la ville, mais Lisbonne a décidé de peser dans bien d’autres domaines pour vous convaincre de dépenser quelques centaines d’euros (en Transavia car vous êtes pauvre) pour vous y rendre.
Mais avant d’énoncer mes endroits préférés de la capitale du Portugal, laissez-moi d’abord vous annoncer la mauvaise nouvelle : cette ville regorge de gauchistes.
C’est un point important pour plusieurs raisons.
D’abord, parce que leur présence visuelle va à l’encontre de l’esprit détente d’un séjour de vacances. On y vient pour déstresser et se faire plaisir, mais la simple vue de ces engeances lâches, immondes et putrides suffit à vous faire contracter les trapèzes, comme si on se préparait mentalement à devoir enfiler un gant en maille et à distribuer des patates gigantesques pour terrasser les forces du mal et libérer la citadelle des ténèbres qui l’entourent.
J’ai vu un couple de lesbiennes grasses et laides avec un tshirt « jesus is a cunt » alors que si la ville n’avait pas été reprise aux arabes en 1147 par des chrétiens surmotivés cette salope ne serait jamais née (les musulmans n’auraient jamais permis qu’elle existe) et croirait que le mot « gouine » est une plante exotique ou un plat italien plutôt qu’une meuf moche qui fait semblant d’aimer une autre meuf moche tout en explosant les statistiques des violences conjugales.
Le cristo redentor fait 110m de haut espèce de pute.
Ensuite, la présence de gauchistes en nombre donne une idée de ce que deviendra la ville dans les années à venir : un énième shithole sous beuh et revenus universels de cafard.
Autre caractéristiques : ces fils de pute de rsaistes professionnels ont trouvé le moyen d’avoir tout de même un budget « bombe de peinture » pour pouvoir tagger des trucs dégueulasses et des messages politiques de faux courageux minable du style « fuck nazis » alors que je ne suis même pas certain que le Portugal était au courant qu’il y avait une guerre mondiale en 1939.
Enfin, ces sales connards, qui nous bassinent à longueur de journées avec leurs tshirt made in Bangladesh « there is no planet B » parce que votre voiture n’est pas homosexuelle (électrique) et fait donc apparemment réchauffer le climat au microondes, sont les êtres humains les plus sales de cette existence à boire, dégouliner et pisser de la bière à même le sol dans les rues qu’ils fréquentent et à laisser leur déchets par terre après avoir « fait la fête » c’est à dire n’avoir servi à rien et s’être alcoolisés et drogués comme des gigantesques merdes pendant toute la « night » parce qu’ils n’ont pas d’emploi à pourvoir demain matin ni jamais dans la suite de leur plan de vie qui reste encore indéterminé, faute d’avoir un vrai CDI.
Pink Street ? Hmm nan... T'es trompé..
Toutes ces raisons étaient essentielles pour ne pas jeter le bébé avec l’eau crade et communiste du bain, et pour donner des justificatifs solides au cas où l’inquisition souhaiterait reprendre le contrôle de la ville et établir des procès pour sorcellerie.
CE QUI FAIT DE LISBONNE UNE VILLE STYLÉE
J’ai adoré vous écrire les précédents paragraphes, mais à part être un peu plus haineux que vous ne l’êtes déjà, je ne suis pas sûr qu’ils vous soient d’une très grande aide lors de votre prochain voyage à Lisbonne.
Laissez-moi donc vous présenter rapidement les endroits que nous avons visité et mes recommandations sous forme de liste.
Tout le centre-ville à faire à pieds
C’est l’occasion de faire entre 15 et 20.000 pas par jour et de montrer qu’être sous endurance infinie vous a rendu digne de Lisbonne.
Suivez les rails de tramway ou laissez-vous guider selon votre instinct, vous découvrirez une ville aux quartiers vastes et aux ambiances différentes.
Nous n’avons jamais eu de « sentiment d’insécurité » et avons pris du plaisir à nous balader à travers les escaliers cachés, les murs colorés, les églises et les monuments.
Est-ce que j'étais le plus stylé de la ville ? Oui.
Le château Sao Jorge
Pas vraiment un château mais plutôt des remparts et une avant cour.
La vue sur la ville est splendide, les arbres et les paons détendent presque autant que de monter dans les tours pour imaginer comment les archers et les catapultes représentaient une menace pour les mecs en-dessous qui voulaient venir squatter.
Le château fut construit au 8ème siècle par les arabes puis repris au 12ème siècle par le roi du Portugal.
Ici, les semelles glissantes ne pardonneront pas.
Belém
À 20 minutes en taxi, vous trouverez la petite ville de Belém.
Vous pourrez visiter sa tour emblématique (elle était en travaux…), son monastère majestueux aux détails minutieux et vous fournir en fameux « pasteis de Belém », qui sont servis tièdes dans la boutique artisanale à rendement industriel de la ville avec un peu de Canelle au-dessus : très bon.
Le Monastère des Hiéronymites est une merveille de Belém.
Le jardin botanique
Situé juste au bord du quartier Principe Real (qui avait l’air merdique et rempli de bâtiments moches et taggés), le jardin botanique est une visite d’une trentaine de minutes qui déstress à fond et comme l’entrée est payante (5€), les clochards ont fait l’impasse ce qui donne des visiteurs polis et silencieux.
Plus d’arbres exotiques que de plantes, je vous recommande d’y venir habillé en colon britannique pour vous y sentir vraiment à l’aise.
Tenue d'explorateur = cet endroit est ma propriété désormais.
LES RESTAURANTS À LISBONNE
Comme à Athènes, j’aimerais vous partager mes recommandations de restaurants pour que vous n’alliez pas vous infliger une merde remplie de badauds (on les reconnaît aux menus photographiés et affichés à l’entrée) et que vous profitiez de ces bangers à réserver à l’avance.
Rossio Gastrobar
Le restaurant est au centre-ville, au 7ème étage de l’hôtel 5* Altis Avenida en terrasse avec une vue imprenable sur toute la ville.
Nous avons pris le menu découverte en 5 étapes (60€/personne) et c’était très bon : 8,5/10.
Tapisco
Le meilleur restaurant de notre séjour, Michelin depuis plusieurs années, comptez également 60€/personne.
Tout simplement excellent, leur seul point faible étant les portions trop généreuses (oui c’est possible) qui blindent beaucoup trop. Même si ça fait clochard, n’hésitez pas à demander un doggybag.
J’ai personnellement pris la salade de poulpe en entrée, la morue au jaune d’oeuf confit en plat et les desserts sont tous géniaux : 9,5/10.
Taberna Meia Porta
Un restaurant qui ne paie pas de mine, juste à côté de notre Airbnb, et pourtant quel délice pour environ 35€/personne.
Des petits plats à partager, peut-être parfois un peu trop petits, qui permettent d’en prendre plusieurs et d’apprécier différentes saveurs au cours du repas.
Une ambiance très simple et pittoresque, des plats et desserts excellents : 9/10.
Isco Petisco
Le restaurant est assez mid, mais est situé dans un quartier animé de la ville, ce qui rend l’endroit vivant et l’expérience à part.
Il a l’avantage d’avoir une petite terrasse dans la rue qui permet d’observer les gauchistes aux corps étranges qui passent sans arrêt, ce qui optimise la circulation sanguine dans votre corps qui fait des aller retours entre votre estomac pour la digestion de vos croquettes de morue, votre cerveau pour les stratégies mentales que vous mettez en place pour garder votre calme mais quand même réfléchir au design architectural du prochain camp de concentration que vous allez ouvrir pour loger ces tas de merde fainéants, et vos dorsaux au cas où il faudrait leur déclencher un gros bras arrière dans la gueule s’ils commençaient à mal vous parler avec leurs têtes de clochards où chaque item du visage a été sélectionné de manière aléatoire et avec le skin le plus dégueulasse possible à chaque fois.
LE PASTEL DE NATA
Il fallait bien que je consacre un paragraphe à cette pâtisserie qui fait tant parler.
Je dois saluer l’esprit capitaliste maximaliste du Portugal : ils ont créé une seule putain de pâtisserie et ont décidé de faire all-in dessus parce que trouver une deuxième recette était un challenge hors de portée.
Alors que valent ces fameux « pasteis » ?
Il est temps de le découvrir.
Si vous souhaitez les juger, rendez leur honneur et ne les achetez pas comme des infâmes fils de pute à « My Auchan » dans une boîte en plastique qui les vend par 6 alors que les mots « cancer » « diabète de type 3 » et « sale enculé » figuraient pourtant clairement dans la liste des ingrédients imprimée en petit à côté du prix de sdf « 2,25€ » qui a monopolisé votre attention car vous êtes minable.
Le pastel de Nata affronte le pastel de Belém pour déterminer qui représentera le mieux l’art pâtissier du pays, mais en réalité il s’agit du même truc marketté aux pigeons dont je fais partie pour que vous en achetiez deux pour comparer et faire semblant de trouver qu’ils sont « tout en nuance » (ce sont exactement les mêmes).
La présentation n'est pas le fort du pastel de Nata.
Ces portugais sont vraiment ingénieux et ont bien compris qu’il fallait capitaliser comme un porc sur cette recette de CM2 dont ils ont la propriété intellectuelle exclusive.
Grossièrement, il s’agit d’une pâte feuilletée qui abrite en son coeur une texture épaisse et crémeuse, pas aussi gélatineuse qu’un flan, mélange d’oeufs de beurre et de sucre et caramélisé sur le dessus.
Le secret est de le déguster tiède et avec un peu de Canelle au-dessus (ne laissez personne vous dire que c’est un truc de touriste).
C’est unique en son genre et a sa place en pâtisserie, mais attention à ne pas le surcôter comme des escrocs du BTP tout ça parce que vous êtes d’origine portugaise.
BILAN
J’ai beaucoup aimé Lisbonne.
J’ai aimé m’y promener, j’ai aimé ses murs de couleur, ses sols pavés, l’architecture de son centre-ville, son littoral et ses remparts en hauteur, son tramway vintage et sa vie dynamique.
Vue des remparts du château Sao Jorge.
J’y étais allé sans savoir à quoi m’attendre, et j’ai été agréablement surpris.
La ville manque peut-être de parcs et d’une milice anti-tag ultra-agressive, mais dans l’ensemble c’est un très bel endroit pour y passer quelques jours avec beaucoup de marche avant l’été.
On y mange très bien et à des prix relativement accessibles, ce qui est un gros plus lorsqu’on vient de France et que nos standards alimentaires sont assez élevés.
Je recommande.
C’était le Raptor.
Ciao.
Merci pour l’article (et les punchlines à la seconde !)
Merci pour cette masterclass sur les petits poilus café clope 6h du mat comme on les appelle dans le btp !
Chaque blague est juste et “furieusement drôle”, j’adore et valide vraiment le blog, merci pour ton partage !