Voyage Mythique à Athènes : Mes Recommandations Pour un Séjour Réussi

Sommaire
Je suis récemment rentré de mon voyage à Athènes et je souhaitais vous le raconter dans ses détails : les raisons de mon choix de destination, ce que j’y ai fait, comment je m’y suis rendu et où est-ce que j’ai logé.
Cet article va être particulièrement long alors n'hésitez pas à consulter le sommaire pour choisir les parties qui vous intéresseront le plus.
Petite gorgée de PLAY! dans la gourde collector édition limitée Raptor Nutrition, parfait pour les longues sorties sous le soleil.
Mais avant de lire la suite, pensez à guérir de tout reste de la maladie de la « pauvreté » qui pourrait encore vous consumer en lisant d’abord cet article.
MA FASCINATION POUR LA GRÈCE ANTIQUE
J’ai toujours aimé la Grèce. Je ne connais pas grand-chose à son histoire ou à sa mythologie, je connais de nom ses grandes figures bien sûr mais ma connaissance réelle et précise de ce pays berceau de la civilisation se limite en gros à Hercule de Disney et Assassin’s Creed Odyssey.
"Tu connais la Grèce ?" "Oui, j'ai joué à AC Odyssey et Hercules est mon Disney préféré."
J’ai cependant une fascination pour son esthétique, ses symboles, ses statues, ses vases et amphores, son style vestimentaire, ses colonnes, ses temples et bien sûr sa cuisine.
Tous ces éléments visuels nourrissent chez moi une volonté de grandeur, de puissance, d’éternité presque. Je vois ces figures magnifiques, dominantes et qui ont marqué l’histoire et je rêve de m’en montrer à la hauteur.
De ma compréhension de la Grèce Antique, les athéniens avaient tout compris. D’ailleurs j’aurais bien voulu soutenir Athènes contre Sparte dans AC Odyssey si le jeu n’était pas rempli de « choix » sans conséquences et de quêtes sans aucun sens où on doit un coup tuer des généraux bleus (Athéniens) et un coup tuer des généraux rouges (Spartiates).
Cinq euros la photo ?? C'est ce qu'on va voir...
Les Athéniens avaient tout compris je disais, parce qu’ils ont commencé par dédier leur ville méditerranéenne de Chad à Athena, déesse de la sagesse, tout en continuant à donner des cours sérieux d’EPS et de stratégie militaire. Ils ont respecté tout ce que l’être humain a de plus précieux, son corps, son cerveau et son âme, et les ont amené au sommet.
Tout cela représente pour moi la quintessence de ce qu’un homme doit atteindre.
Et, même si je ne pense pas à « l’Empire Grec » chaque jour, j’essaie de devenir cet homme complet physiquement, intellectuellement et moralement, un homme au sommet de son art, un peu plus tous les jours.
Le parrain de la fameuse "mafia grecque"
POURQUOI CE VOYAGE ?
Je me suis donc rendu à Athènes cette semaine pour enregistrer du contenu pour le lancement du programme Gravity Warrior et les comptes instagram de mes marques : Raptor CoachingPRO et Raptor Nutrition.
La Grèce propose de splendides paysages ensoleillés qui, par association, renvoient un message puissant et motivant parfaitement adapté au nouveau programme Gravity Warrior : construire un physique esthétique et aux proportions parfaites uniquement grâce à son poids de corps tout en développant un mode de vie agréable, dans sa diète comme dans son temps libre.
Quoi de mieux que de tourner des vidéos dans une ville mêlant la mer et les montagnes sous 26°C ?
Les visuels du programme donnent envie d'atteindre ses objectifs.
J’ai donc dû, pour me préparer physiquement au tournage, entamer en à peine 1 mois une sèche éclair qui a été, encore plus que ce que je pensais, redoutablement facile.
J’ai appliqué le protocole 3 du système nutritionnel Zero to Hero, maintenu mes 3 uniques entraînements par semaine et tout a fonctionné avec une facilité déconcertante.
Je n’ai jamais eu faim, je n’ai jamais été « crevé » et la transformation physique s’est déroulée encore mieux que prévu.
La seule donnée que j’ai modifiée puisque j’étais pressé par le temps n’était pas de réduire mes calories, ce qui aurait été contreproductif, mais de monter de 10.000 à 14.000 pas ma moyenne quotidienne.
"Et les jambes Raptor ??"
L’une des raisons de la réussite de ma transformation éclair, c’est également que mon point de départ n’était pas si élevé puisque je maintiens toute l’année un bodyfat entre 7% et 12% (sauf relâchement des fêtes bien sûr), ce qui permet d’être prêt en toutes circonstances, de me plaire physiquement dans le miroir toute l’année et d’être disponible même en short notice pour un tournage ou un shooting.
Le point de départ un mois plus tôt.
Très honnêtement, je ne sais pas pourquoi tout le monde n’est pas sous Zero to Hero alors qu’il s’agit littéralement du système parfait et final pour avoir un physique magnifique sans passer sa vie à s’entraîner comme un gymrat de merde, tout en ayant une diète ultra satisfaisante, une vie sociale et surtout énormément de temps libre pour développer son activité professionnelle ou exprimer sa passion.
Absolument tout le monde gagnerait à investir une fois pour toutes dans ce programme et finir le « jeu » du fitness pour tout le reste de sa vie, mais allez savoir pourquoi certains préfèrent encore perdre du temps à avoir des résultats merdiques alors que les années qui s’écoulent valent bien plus que l’investissement financier de Zero to Hero.
Enfin bon, notre vie est faite de choix et il est temps que je vous parle des miens pour ce voyage.
LES RESTAURANTS
Je ne doute pas que le coeur d’Athènes regorge de nombreux restaurants à l’ambiance agréable, avec un menu typiquement grec et des saveurs uniques.
Se pose simplement le problème de passer 30 minutes aller 30 minutes retour en taxi avec potentiellement son fils de 5 ans qui commence à s’agiter parce qu’il veut dormir, alors que de l’autre côté il est possible de manger dans un très bon restaurant à l’hôtel et d’être de retour dans sa chambre en 2 minutes.
C’est donc le choix que nous avons fait cette fois-ci. Je retournerai certainement à Athènes car cette ville m’a énormément plu, et à ce moment là je découvrirai ses meilleurs restaurants typiques.
L’hôtel possède seulement 2 restaurants : « Ora » à la cuisine méditerranéenne et « Manko » à la cuisine péruvienne.
Le petit déjeuner
Énorme point fort des hotels de luxe, le petit-déjeuner est un scandale pour « action contre la faim » parce qu’il regorge de mets les uns plus fabuleux que les autres et que j’espère de tout mon coeur à chaque fois que les salariés repartiront avec tout le surplus pour régaler leurs proches jour après jour avec ces aliments délicieux.
Un buffet sain et délicieux pour commencer la journée.
Ou à la carte, pour les spécialités locales (et ses 4 oeufs par jour).
Mon approche à l’hôtel est de manger des protéines et des lipides sans me prendre la tête, et de limiter les glucides en consommant seulement des fruits et du miel. Ensuite, je ne mange plus jusqu’au repas du soir qui lui sera dans la mesure du possible faible en lipides et riche en glucides et protéines.
Évidemment, le dessert est comme toujours un piège qu’on se réservera une ou deux fois pour Pâques mais surtout pour que Betty déstresse.
Le serveur propose toujours le dessert en regardant votre femme pour que vous passiez pour un rat si vous refusez.
Cette approche me permet de me faire plaisir en restant raisonnable, d’être en super forme et plein d’énergie toute la journée sans crash glycémique pour pouvoir travailler, et de bourriner sur le pain et les pâtes le soir sans me priver.
Ora, par Ettore Brotrini
Le restaurant méditerranéen de l’hôtel.
Nous y avons mangé surtout du poisson, du très bon pain chaud et des légumes, le tout avec beaucoup d’huile d’olive (on avait dit d’éviter les lipides, tant pis).
Pêche du jour, toujours.
Mon bilan est que le restaurant est bon mais relativement simple et beaucoup trop cher. L’emplacement est très confortable, le cadre magnifique, mais les tarifs profitent du manque d’alternative pour vous saigner et c’est un peu abusé.
Manko Athènes
La masterclass péruvienne : poissons crus fondants, assaisonnement et marinade de fin gourmet, portions pas assez hétérosexuelles mais qui permettent de choisir et tester plusieurs plats pour se remplir la panse, ambiance très conviviale avec une vue royale sur la plage pendant le coucher de soleil.
Si vous aimez le poisson cru et le coucher de soleil, c'est un sans faute.
Moins cher que son compère Ora, nous nous sommes régalés les deux soirs où nous y avons mangé et je ne peux que vous le recommander.
VISITE D’ATHÈNES
Je ne suis pas complètement un fils de pute, j’ai tout de même tenu à visiter la capitale de la Grèce et ses merveilles pour alimenter ce blog, mon podcast et mon imaginaire.
Vue splendide surplombant toute la capitale.
Nous avons dégagé du temps à deux reprises pour deux visites différentes et complémentaires que je vais vous partager.
VISITE DES ENDROITS TYPIQUES
La première sortie avait pour objectif de nous balader dans les rues et coins emblématiques de la capitale, pour s’imprégner de la culture locale et découvrir son charme.
Nous nous sommes donc dirigés vers les deux places les plus connues d’Athènes : Monastiraki et Plàka.
Beaucoup de laisser-aller dans les pays où il fait chaud l'après-midi.
Nous nous y sommes rendu depuis l’hôtel en taxi. Je suis obligé de faire une pause pour vous parler des taxis Athéniens…
Mon expérience aller et retour suffit amplement à vous confirmer que :
- ils n’ont pas d’intérieur cuir
- On dirait la voiture de mon tonton en Algérie sauf que ce souvenir date de 1999
- Ils mettent la musique fort et ont oublié qu’il y avait des passagers à l’arrière
Bref, nous arrivons sur place et décidons de marcher là où notre instinct nous guidera.
Monastiraki est une place témoin de plusieurs périodes historiques, ce qui la rend unique.
La Place Monastiraki en question.
Nous nous dirigeons assez vite vers une place bondée de monde. Voyez-vous, j’aime observer avec attention les touristes et les badauds pour préparer mon cerveau à les clasher avec précision dans un article de blog ou dans un futur podcast.
Cet endroit extrêmement bruyant et peuplé s’appellait « L’Agora ». Une longue allée remplie de vendeurs en tout genre qui proposent des productions raffinées et artisanales de ce que la Grèce peut fabriquer de meilleur.
Je plaisante, il s’agit de produits merdiques made in Bangladesh (là où je veux construire mon bagne vous vous souvenez) que ces fils de pute de touristes achètent quand même pour avoir un « souvenir » du genre des couronnes de laurier « dorées » en plastique qui donne une allure de trisomique à son porteur et à ses accompagnateurs légaux, des casques « spartiates » d’enculé qui ne fait pas de muscu et qui est loin des 7% de bodyfat règlementaires pour intégrer le cursus « chassé dans le bide » enseigné exclusivement à Sparte, ou encore des tristes sandales hideuses fabriquées en Inde et qui sont destinées à servir de semelle pour des pieds de sale grosse, d’enfant obèse capricieux ou d’Américain sans âme.
Expliquez-moi cette merde.
S’ensuit une brocante douteuse qui vendait peut-être des pièces d’exception mais il est trop tard, la confiance est perdue, la crédibilité vient d’exploser après 150 mètres de traversée de boutiques de clochards qui ont décidé de brader le made in Grèce exceptionnel de leur culture millénaire pour de la camelote au rabais vendue 25 centimes les 250 pièces sur Alibaba.china/objetspourfilsdepute .
Je suis peut-être passé à côté d'une relique historique sans le savoir... Non, je pense quand même que c'était de la merde.
Nous passons donc notre chemin tout en observant avec plaisir les rues, les structures et les chemins typiquement grecs de cet endroit apaisant.
Passés les restaurants attrapes-touristes qui affichent leurs cartes exécrables avec des photos laides de leurs plats pas bons et qu’il faut fuir impérativement, nous arrivons tranquillement à Plàka, l’endroit que j’ai préféré avec ses chemins de pierres en dénivelés et ses commerces mignons et paisibles.
Plàka et ses alentours, mon endroit préféré de la ville.
J’oubliais de préciser : tout semblait calme et sécurisé, pour les raisons que je n’ai pas besoin de vous énoncer. Cet élément est peut-être le plus appréciable tant nous avons oublié sa saveur dans notre beau pays.
Nous continuons de nous promener pour arriver au temple de Zeus puis à l’Acropole, à travers une route épique toute faite de marbe et de pierres et lumineuse.
Descente de Plàka au temple de Zeus.
Le chemin du temple de Zeus à l'Acropole est absolument magnifique.
VISITE GUIDÉE DES MONUMENTS
Deux jours plus tard, nous avons réservé un tour guidé des monuments principaux à voir à Athènes pour une durée totale de 4 heures.
Encore une fois, il s’agit d’un investissement qui permet une visite agréable et surtout un gain de temps phénoménal tout au long de la visite.
Un chauffeur vient nous chercher en van intérieur cuir chargé de bouteilles d'eau (donc beaucoup d’espace confortable) depuis l’hôtel et nous emmène étape par étape pour visiter et faire des photos, tout en nous donnant du contexte historique sur chaque élément important sur la route.
C'est parti pour éviter les trucs chiants et voir que les trucs stylés avec explications.
Temple de Zeus, stade Olympique, endroit le plus haut de la ville et avec la plus belle vue, musée hellénique, relève de la garde royale, jardin royal et Acropole : nous avons tout visité en prenant notre temps et surtout avec des tickets pré-réservés et en coupant toutes les files.
Ceci n’est pas un détail : les queues s’étendent sur plusieurs rues pour acheter un ticket, et pareil pour ensuite entrer. Cette perte de temps est tout simplement inenvisageable et je préfère encore une visite google images à un tel foutage de gueule.
Speedrun d'Athènes : complete.
Ces deux visites furent donc complémentaires et très agréables chacune dans leur style.
Athènes est une ville splendide qui m’a beaucoup plu.
Je comprends cependant la frustration de certains visiteurs : il y a de nombreux tags, surement des communistes de merde, on peut apercevoir de nombreux babos semi-drogués (des femmes souvent) qui essaient de vendre leurs « oeuvres d’art » qui sont en gros des gribouillis d’handicapé mental qui a aussi le sida, et Athènes a foutu ses HLM tout de suite après, entre son centre-ville et sa côte privatisée, ce qui donne l’impression que toute la ville est une espèce de banlieue d’Île de France à l’exception notable que cette fois-ci ses habitants semblent avoir saisi la subtilité d’utiliser des toilettes plutôt que de pisser dans l’ascenseur.
CONCLUSION
Ce voyage a rempli toutes ses promesses.
J’ai pu enregistrer tout ce que je voulais enregistrer dans un endroit merveilleux qui me rappelle pourquoi je travaille tous les jours et toute l’année, et visiter les endroits principaux qui en font sa spécificité.
J’ai goûté à certaines de ses spécialités culinaires, découvert son ambiance si particulière lors de Pâques et je pourrai proposer dans ma communication et pour mes programmes des visuels spectaculaires qui renforceront l’image du style de vie qui vous attend peut-être si vous suivez mes conseils et rejoignez le système Zero to Hero.
C'était le Raptor.
Ciao.
toujours intéressant à lire avant de programmer un voyage
Intéressant. Cette photo de la montée vers l’acropole m’a rappelé l’odeur des plantes méditerranéennes et la chaleur sur les sentiers des sites pas touristiques de l’île de Rhodes.
@Pourquoi Pas PKP je pense qu’ils se foutent un peu de notre gueule car l’échafaudage va fêter ses 10 ans et le financement des travaux est à 75% européen, quand on voit le prix d’entrée y en a qui doivent bien manger, nonobstant c’est une ville magnifique, je valide l’article